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    COIN COIN COIN ....

     

     

     

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    VOILÀ 4 ANS AUJOURD'HUI DJENEBA ÉTAIT ABATTU PAR CELUI QUI ÉTAIT ENCORE SON MARI.DIFFICILE D'IMAGINER DES JOURS PLUS SOMBRES QUE CETTE PÉRIODE QUE NOUS AVONS VÉCU, CES QUELQUES MOTS JUSTE POUR SE SOUVENIR...

     ET PUIS AUSSI J'AIMERAIS DIRE À TOUS CEUX QUI SONT TÉMOINS DE VIOLENCE INTRA-FAMILIALE DE TÉMOIGNER, DE NE PAS GARDER LE SILENCE ((3919 par exemple voir ci-dessous) CAR POUR LES VICTIMES IL EST TRÈS DIFFICILE D'EN PARLER ET QUAND ELLES PARLENT  PARFOIS ON NE LES CROIS PAS.

               À DJENABA

     

     

    39.19 C’est le numéro que peuvent composer les femmes victimes de violences (mais aussi leur entourage et les professionnels concernés). Gratuit et anonyme, ce numéro de téléphone qui a un rôle d’écoute, d’information et d’orientation est accessible 7 jours sur 7 (de 9 heures à 22 heures, du lundi au vendredi, et de 9 heures à 18 heures, les samedis, dimanches et jours fériés).

     

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    Le HuffPostdu 25 novembre a publié l'article suivant:

    https://www.huffingtonpost.fr/entry/feminicides-en-france-manon-aubry-fait-le-decompte-glacant-des-victimes_fr_5fbe7ffac5b61d04bfa62695

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    169 femmes victimes de violences conjugales dans le Lot depuis le début de l'année (Préfecture Lot).
    Journée internationale d'élimination de la violence à l'égard des femmes ce 25 novembre.
    Chaque année, en France, environ 220 000 femmes sont victimes de violences psychologiques, physiques ou sexuelles de la part de leur conjoint ou ex-conjoint.
    Parmi elles, seule une femme sur cinq dépose plainte.
    Depuis le début de l’année 2020, 87 femmes ont été tuées sous les coups de leur conjoint ou exconjoint, dont quatre en Occitanie (Aude, Haute-Garonne, Hautes-Pyrénées et Pyrénées-Orientales).
    121 femmes ont été tuées en 2018 et 146 en 2019 dont 19 en Occitanie.
    Le contexte particulier de confinement, indispensable à l’endiguement de la pandémie de Covid-19, constitue malheureusement un terreau favorable aux violences conjugales et intrafamiliales : la promiscuité, les tensions, l’anxiété peuvent y concourir.
    - Dans le Lot :
    En 2019, 163 femmes ont été reconnues victimes de violences conjugales par les services de gendarmerie (122) et de police (41).
    Les forces de sécurité intérieure ont constaté une forte évolution pour 2020 puisque 169 femmes ont été reconnues victimes de violences conjugales, au 30 octobre : 137 femmes par le groupement de gendarmerie et 32 par la direction départementale de la sécurité publique.
    Depuis cinq ans, pour des faits concernant des victimes féminines, les forces de l’ordre enregistrent une hausse de 73 % des violences intrafamiliales (de 129 en 2016 à 224 en 2020). Parmi ces violences, les faits de violences au sein du couple ont également augmenté de 69 % (de 100 en 2016 à 169 en 2020).
    La hausse des faits de violence constatés au sein du couple s’explique notamment par une plus grande propension à déclarer les faits, d’autant plus depuis le Grenelle, ainsi que par le premier confinement au cours duquel les faits de violence au sein du couple et surtout les violences intrafamiliales ont connu une recrudescence importante. Sur la période du premier confinement, les forces de
    gendarmerie ont enregistré 39 faits de violences conjugales, contre 21 en 2019, et 48 faits de violences intrafamiliales en 2020 contre 31 en 2019.
    Néanmoins, ces chiffres ne rendent visibles qu’une partie de l’ampleur des violences faites aux femmes dans le Lot, et ne rendent pas compte des violences subies en secret et des femmes qui ne se manifestent pas aux services de police et de gendarmerie.
    - Rappel des dispositifs d’alerte renforcée pendant la Covid-19 :
    Pour les victimes, en cas d’urgence :
    - le 17, forces de sécurité, ou par SMS, le 114 ;
    - en cas de besoin d’hébergement urgent, le 115 ;
    Pour les victimes, en cas de besoin d’écoute et d’accompagnement :
    - une plateforme téléphonique disponible au 3919, accessible à tous de 9h à 21h tous les jours, week-end et jours fériés. L’accessibilité a été poussée pour pouvoir répondre aux personnes en situation de handicap du lundi au vendredi de 9 h à 19 h ;
    - il est aussi possible de faire un signalement en ligne sur arretonslesviolences.gouv.fr ;
    - il existe aussi des aides portées par des associations spécialisées telles que Pause aux Filaos, le Centre d’information sur les droits des femmes et des famille (CIDFF), France victimes 46, l’association Ségala Limargue et l’Affirmée.

    Pour les auteurs :
    - un numéro national dédié à l’écoute des auteurs de violences a été mis en place au 08 019 019 11 du lundi au dimanche de 9 h à 19 h.

    Journée internationale d'élimination de la violence à l'égard des femmes ce 25 novembre.

     

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    SUR LE SITE DE FRANCE INTER L'ARTICLE DE CE 31 AOÛT:

    https://www.franceinter.fr/bracelet-anti-rapprochement-comprendre-le-dispositif-en-5-questions

    et sur Le Huffpost du 8/08: ici

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  • Grenelle Appliqué

    LA JUSTICE

     

    Féminicides : Nicole Belloubet reconnaît des « dysfonctionnements »

     

    La ministre de la justice commente, dans le JDD, un rapport sur les homicides conjugaux commis en 2015 et 2016, admettant que « la chaîne pénale n’est pas satisfaisante ».

     Oui la garde des sceaux identifie un problème inacceptable. Les victimes ou futures victimes

     ne sont pas toujours entendues  par la justice. Ce problème est connu depuis 2015.

     Nous sommes en 2019.

     Que s'est-il passé durant ce temps ?

     Toujours l'affaire Djénéba, Le procureur de Cahors, sa substitut se plaignent "du fatras" de doléances

     concernant des affaires personnelles, le bureau du procureur n'est pas le bureau des pleurs.

     Le Canard rapporte très justement ces "anecdotes".

     Au départ de son poste de Cahors, interviewé par la dépêche, le procureur dans son immense

     auto satisfaction, n'a aucun regret. Tout va bien.....malgré les alertes désespérées émises

    par les amis   de Djénéba.

     C'était en 2017 soit 2 ans après le rapport.

     

    Et MIRACLE!!!!!!!!!!!

     Revoici le procureur, à Saintes maintenant,  qui s'engage

     

      IL faut croire aux miracles et aux vocations tardives.

     Peut être son intervention porte sur : Ce qu'il ne faut jamais faire. 

     Monsieur le Procureur, une déclaration de votre part reconnaissant humblement votre erreur serait un gage

     de votre réelle adhésion  à ce combat et vous permettrait de redevenir crédible.

     

    CONCLUSION : Pour que les institutions soient respectées, ce qui est plus que souhaitable, elles doivent être respectables.

    Malheureusement la seule matière qui ne soit pas enseignée lors de la formation des grands commis de l'Etat  c'est

     

    L'HUMILITE.

     

    Sans humilité, pas de réels progrès

     



     

     

     



     

     

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